lundi 13 juillet 2020

Revue de presse - 13 juillet 2020

CONSEIL NATIONAL DES CHÔMEURS
CNC - Imaginons l’après-crise: protéger nos communautés

Le CNC milite pour une mesure d’exception visant à déclarer « sous protection » les régions aux prises avec un chômage structurel, les travailleur.se.s de l’industrie saisonnière vivant dans des régions où l’emploi saisonnier est plus élevé que la moyenne nationale, les communautés autochtones ainsi que les zones géographiques ou secteurs de travail victimes d’une catastrophe naturelle. Ces régions, communautés ou catégories d’emploi doivent être déclarées comme « protégées », établissant ainsi un critère unique d’admissibilité́ de 420 heures, avec un dénominateur (diviseur) fixé à 12.
http://www.lecnc.com/blog/2020/07/13/imaginons-lapres-crise-proteger-nos-communautes/

ASSURANCE-EMPLOI
Journal de Québec - Assurance-emploi: cancéreux à bout de patience
Malgré leurs traitements difficiles, deux jeunes femmes atteintes d’un cancer à un stade très avancé continuent d’implorer le gouvernement Trudeau de bonifier au plus vite l’assurance-emploi de 15 semaines à un an en cas de maladie.

PCU-SSUC
Journal de Montréal - La subvention salariale aux entreprises prolongée jusqu'en décembre
La subvention salariale d'urgence sera prolongée jusqu'en décembre afin d'aider les entreprises, a annoncé Justin Trudeau lors d'un point de presse. 

La Tribune - Ottawa a l'intention de prolonger la subvention salariale jusqu'en décembre 
Le gouvernement fédéral a l'intention de prolonger la Subvention salariale d'urgence du Canada jusqu'au mois de décembre. Le premier ministre Justin Trudeau en a fait l'annonce lundi matin, lors d'un point de presse devant sa résidence. La subvention salariale avait déjà été prolongée une première fois, jusqu'au 29 août.
https://www.latribune.ca/covid-19/ottawa-a-lintention-de-prolonger-la-subvention-salariale-jusquen-decembre-video-en-direct-29a1947e82cd88ea665146757bf7ba3f

ÉCONOMIE
TVA - Des super riches veulent être taxés davantage
Un groupe de 83 millionnaires a appelé lundi à taxer davantage les plus riches de la planète «immédiatement» et «de manière permanente», afin de contribuer à la reprise après la crise générée par la pandémie de nouveau coronavirus. «Alors que la COVID-19 frappe le monde, les millionnaires comme nous avons un rôle essentiel à jouer pour guérir le monde», demandent les signataires d'une lettre ouverte, parmi lesquels le cofondateur du géant américain des glaces Ben & Jerry's, Jerry Greenfield, ou le réalisateur britannique Richard Curtis.

Les Affaires - Québec allongera jusqu'à 100 M $ pour un fonds visant à aider les PME
Le gouvernement Legault injectera jusqu’à 100 millions $ dans un fonds piloté par la Banque Nationale, dont la taille maximale pourra atteindre 200 millions $, visant à stimuler la relance des petites et moyennes entreprises (PME) à la suite de la pandémie de COVID-19.

Les Affaires - Ottawa verse 16 millions $ à 46 entreprises québécoises
Le gouvernement fédéral versera plus de 16 millions $ à 46 entreprises et organismes québécois pour la mise au point de « solutions innovantes ». La ministre du Développement économique régional Mélanie Joly en fera l’annonce à l’occasion d’un point de presse à Montréal, lundi matin. L’aide financière s’élève en tout à plus de plus de 16,2 millions $.

TVA - Les frais de garderie des employés payés
Un patron d’une PME qui a payé 100 % des frais de garderie de ses travailleurs dès le début de la pandémie estime avoir un chiffre d’affaires de 60 millions $ parce qu’il traite bien ses employés. « Notre programme de garderie devrait nous coûter un bon 50 000 $. C’est rien. J’ai du mal à comprendre ceux qui ont de la misère à trouver des journaliers à 14 $ ou 15 $ l’heure. C’est normal, McDonald’s paye plus cher que ça ! Les nôtres commencent à 25-30 $, et ça monte à 50 $ l’heure », lance au Journal Yves Dandurand PDG d'Adfast.
TVA - Son champ de laitue en ruine
Un des plus gros producteurs de laitue du Québec a été forcé de détruire son champ de laitue à coup de tracteur parce que ses dizaines de travailleurs étrangers ne sont pas là pour faire la récolte. « C’est clair qu’il y a un manque de main-d’œuvre parce que tous les travailleurs temporaires du Mexique et du Guatemala n’ont pas pu se rendre au Québec », reconnaît le directeur général de l’Union des producteurs agricoles (UPA), Charles-Félix Ross. Du même souffle, le haut dirigeant syndical invite les cultivateurs à faire appel aux travailleurs d’ici pour qu’ils viennent leur donner un coup de pouce. « Il y a 2000 Québécois admissibles à notre programme. On a une banque de milliers de candidatures, alors on invite les producteurs à faire appel à cette main-d’œuvre », a-t-il insisté.