Manifestation pour une réforme de l'assurance-emploi - Ottawa ne propose toujours pas de solution permanente
Malgré une occupation du bureau de Justin Trudeau pendant neuf heures hier, Ottawa persiste à maintenir une mécanique de l'assurance-emploi qui génère de la pauvreté, qui dévitalise les localités éloignées et qui vivent d'industries saisonnières. Après l'éviction des élu-es de la CSN hier, une manifestation s'est tenue aujourd'hui vers midi, devant ces mêmes bureaux pour tenter de faire entendre la voix des régions au premier ministre.
Assurance-emploi : occupation du bureau de Justin Trudeau à Montréal
Les dirigeants des conseils centraux de la CSN du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine ont occupé de manière pacifique le bureau du premier ministre Justin Trudeau à Montréal, hier matin. Les représentants de la Côte-Nord et de la métropole étaient également présents pour réclamer une réforme en profondeur de l’assurance-emploi pour l’industrie saisonnière, afin d’éviter les périodes de « trou noir ».
https://cimtchau.ca/nouvelles/assurance-emploi-occupation-du-bureau-de-justin-trudeau-a-montreal/
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Le « trou-noir » de l'assurance-emploi et l'exode des travailleurs saisonniers
Les règles de l'assurance-emploi aggravent la pénurie de main d'œuvre en causant un exode des travailleurs en région, selon la CSN. D'après le syndicat, l'assurance-emploi accélère la dévitalisation de petites localités en région, ce qui rend difficile l'embauche de personnel saisonnier chez les PME œuvrant dans les secteurs du tourisme, de la pêche ou de la foresterie.
Assurance emploi : la CSN n'a pas pu parler à Justin Trudeau
La CSN n’a pas réussi à échanger avec Justin Trudeau sur l’assurance emploi. Des représentants de la centrale syndicale ont reçu un avis d’éviction en début de soirée mercredi après avoir occupé les bureaux du premier ministre à Montréal.
Trou noir : la CSN occupe le bureau du premier ministre
Baie-Comeau – Les dirigeants de quatre conseils centraux de la CSN, dont ceux de la Côte-Nord, occupent depuis 10 h ce mercredi matin le bureau de circonscription du premier ministre Justin Trudeau, à Montréal. Ils soutiennent qu’Ottawa aggrave la pénurie de main-d’œuvre en raison des règles actuelles de l’assurance-emploi.
Après l'occupation, le piquetage contre le trou noir de l'assurance-emploi
La mobilisation contre le ! trou noir " de l'assurance-emploi se poursuit jeudi pour les syndiqués de la Confédération des syndicats nationaux (CSN) de la Côte-Nord, du Bas-Saint- Laurent et de la Gaspésie.
Ottawa doit cesser d'aggraver la pénurie de main-d'oeuvre
La baisse générale du taux de chômage d'une région provoque en effet la baisse automatique du nombre de semaines de prestation d'assurance-emploi et fait augmenter le nombre d'heures travaillées pour se qualifier.
Trou noir : la CSN occupe le bureau du premier ministre
Les dirigeants de quatre conseils centraux de la CSN, dont ceux de la Côte-Nord, occupent depuis 10 h ce mercredi matin le bureau de circonscription du premier ministre Justin Trudeau, à Montréal. Ils soutiennent qu’Ottawa aggrave la pénurie de main-d’œuvre en raison des règles actuelles de l’assurance-emploi.
Le cabinet du ministre réagi à la sortie des syndicats au sujet du Trou noir à l'assurance-emploi et pénurie de main-d’œuvre
Le cabinet du ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, Jean-Yves Duclos, apporte des précisions concernant la sortie de la CSN de mercredi rapportée sur notre site Internet sur les effets néfastes du trou noir du programme de l’assurance-emploi sur la pénurie de main-d’œuvre.
Les 15 semaines d’assurance-emploi maladie
15 semaines pour guérir ce n’est pas assez et les libéraux le savent! Alors quand vont-ils respecter leur promesse et finalement bonifier les prestations de maladie de l'assurance-emploi? - Brigitte Sansoucy
La Cour suprême n’entendra pas la cause d’un ex-travailleur d’Aveos
Un ex-travailleur d’Aveos qui s’est battu jusqu’au bout pour obtenir justice a épuisé tous ses recours. La Cour suprême a refusé jeudi d’entendre la cause de Richard Champagne. Il devra finalement rembourser les 10 000 $ de prestations d’assurance-emploi qu’il aurait reçues en trop.